Salle interdite

C'est ici parait il que l'on torture les gens. Les murs sont froids, des instruments étranges ornent la pièce.
MAis si vous interrogé les prêtres du temple ils vous répondrons qu'il n'ont nul droit de pénétrer ici et que jusqu'à aujorud'hui il n'avait entendu aucun bruit sortir de cette pièce qui leur auraient fait penser à de la torture. Ils restent néanmoins sur leur garde...

C'est là que les gardes amenèrent Tsubasa.
Ils l'attachèrent solidement sur une table, les bras en croix, les poignets et les cheville cerclé par des fers, la tête plaquée contre la table, elle aussi cerclé par un fer au niveau du front et du cou. Un dernier fer se referma sur son adbomen.
Il était toujours assomé., inconscient, il mourrait à petit feu.
Mais les gardes avaient reçu l'ordre de lui verser dans la bouche une solution verdâtre, deux gouttes suffisent avait dit Néphilès. Le sérum fit son effet rapidement.
Mais les gardes avaient déjà déserté la salle quand Tsubasa se réveilla, solidement attaché, les bras et jambes en croix, désarmé, impuissant...

C'est à ce moment là que Néphilès entra dans la salle.

Alors comment te sens tu, zarack, as tu compris qu'il était inutile de lutter contre plus puissant que soi? Bien que tu sois certainement plus habil combattant, l'expéreince te manque. Il te reste deux solutions maintenant, tu meures ici dans la souffrance la plus extrême ou alors je te laisse la vie sauve mais tu restes sous mes ordres et puisque tu n'es pas prêtre et que je suppose que tu ne le sera jamais je te propose d'être chef de la garde et des affaires étrangères. Bien sûr tu recevra des ordres de ma part et tu n'auras pas toute mon armée sous tes ordres.

Tsubasa se reveilla dans une salle différente de celle ou il se trouver avant.Il observa la salle dans le champ de vision réstrain qu'il avait.Par chance la salle était presque entiérement remplis d'ombres.Tsubasa aller alors pour voir mettre a jour sont véritable pouvoir.Puis il vit la prêtre qu'il avait affronter avant de se retrouver dans la salle.

Pensez-vous vraiment que je vais ma laisser abatre par un tel echec.Vous auriez du me laissez mourir car vous ne vous en tirerez pas deux fois de suite.[/i]

Je pensais avoir était assez clair, tu n'as pas l'air très coopératif...

Néphilès alla vers Tsubasa et fit quelque chose de plutôt inattendu, il lui retira ses chaussures. Puis il s'apporcha de la cheminée dans laquelle le feu s'attaquait à trois énormes bûches du bois le plus dur de la région. Là, une barre de fer rougissait à son extrémité. Néphilès pris un chiffon qui trainait non loin de là et attrapa la barre de fer.
Il s'approcha doucement du Zarack toujours étendu et attaché et abaissa le tisonier ardant vers le prisonnier. Le fer rouge ne faisait qu'effleurer les jambes du zarack mais déjà une odeur de chair bruler montait dans la pièce, Néphilès abaissa alors lourdement la barre et la laissa quelques seconde sur la plante du pied droit de Tsubasa.

La douleur passait, Néphilès éclata d'un rire tellement fort que n'importe qui pouvant l'entendre pouvait se demander si le grand prêtre n'était aps devenu fou.



Ton petit tour de passe passe ne m'impressionne pas, tu peux peut être contrôler mon bras, ou ma tête ou n'importe quelle partie de mon corps mais penses tu réellement que mon seul pouvoir est de fabriquer des poisons? Que crois tu que mes gardes t'es donné tout à l'heure pour que tu te réveilles? Tu es vraiment naïf, cette marque que tu vois va disparaitre dans moins d'une minute.

En effet, moins d'une minute plus tard, la joue de Néphilès reprit une forme normale, plus la moindre marque de fer...
Néphilès approcha alors rapidement le fer du visage de Tsubasa et lui fit une marque sur la jour gauche.
Toi par contre, ton visage d'enfant gardera toujours la marque de ta faiblesse d'esprit!
Puis il jeta le fer dans la cheminée.
Réfléchit à ma proposition petit, je reviendrais plus tard, les affaires de mon royaumes m'attendent!
Puis il sortit de la salle en direction de la chapelle, il était temps de la prière puis viendrait l'heure du repas et la bureaucratie ...